M. Martial Bourquin. Après tant de baisses, le FISAC aurait pu s’étioler ou disparaître, et nous ne pouvions même pas en débattre ! Aujourd’hui, le ministre du budget nous annonce une négociation en vue d’abonder ce fonds. Je retire donc mon amendement pour négocier avec le Gouvernement le rétablissement de ce fonds indispensable à la ruralité et aux quartiers sensibles.