… en particulier pour ce qui concerne le rendement prévisionnel de l’impôt sur les sociétés. Là aussi, monsieur le ministre, il faudra bien réviser cette épure en cours d’année, compte tenu du comportement effectif des agents économiques.
Par ailleurs, nous sommes sous l’œil de celles et de ceux qui nous scrutent et dont dépend le coût de nos ressources. Dès lors, monsieur le ministre, nous serons contraints de rester dans les clous des 3 % de déficit public à atteindre à la fin de l’année 2013.