Monsieur le président, mesdames, messieurs les sénateurs, le vote du budget est un moment essentiel de la vie politique et parlementaire. C’est un élément structurant, surtout au début d’une mandature, car, par son vote, chaque parlementaire manifeste son adhésion ou non au projet gouvernemental, son appartenance à la majorité ou à l’opposition. Il revient à chacun de se déterminer en conscience.
Au terme de l’examen de la première partie du projet de loi de finances, il me semblait opportun de rappeler cette réalité.
Cela fait, je tiens à remercier la présidence, dont la sérénité, le calme et la détermination ont permis à chacun de s’exprimer pleinement, sans réserve.
Je remercie également M. le rapporteur général, dont j’ai beaucoup apprécié le travail approfondi et l’entière loyauté. Il a su parfaitement exposer les positions de la commission des finances, dans toutes ses différentes sensibilités. Je tenais à lui rendre ici hommage.
Enfin, je remercie l’ensemble des intervenants de leur contribution à ce débat, qui a fait honneur à l’ensemble du Parlement.