Nous avons indiqué aux syndicats du personnel navigant commercial (PNC) que nous accorderions une prime à la signature d'accords à l'instar de ce que nous avons fait avec les pilotes et le personnel au sol. Les accords signés avec ces personnels ont eu pour première contrepartie l'engagement de ne pas procéder à de départs contraints d'ici fin 2014. En outre, si Air France revenait à meilleure fortune plus rapidement que prévu, ils bénéficieraient d'émissions d'actions réservées ou de plans d'intéressement et de participation particulièrement musclés. Nous pratiquons la plus grande transparence : les catégories signataires ont chacune désigné un expert au sein du groupe de travail interne chargé du projet qui en valide le degré d'avancement ainsi que les solutions à apporter aux problèmes rencontrés. A défaut d'accord avec les PNC, nous devrons en revanche traiter la question des sureffectifs évalués entre 500 et 600 emplois.