… et qu’on ne dénombre que 13, 5 % de conseillères générales.
Cela montre bien qu’il y a un effort à faire, et cela, effectivement, quelles que soient les formations politiques.
Au demeurant, ainsi que Laurence Rossignol l’a également rappelé, ce constat vaut plus pour les assemblées départementales que pour l’Assemblée nationale. Cela signifie que, si nous n’imposons pas la parité au niveau du département, nous n’y arriverons pas ! Cela ne revient pas à imposer un quota, et je réfute l’idée selon laquelle il s’agirait de discrimination positive.