« Demain, vous vous agripperez peut-être à la dernière bouée. Quel fiasco, mes chers collègues ! »
Ce propos n’est pas de moi – je n’ai pas un style aussi lyrique –, il est du président Sueur.Il l’a tenu ici même, le 6 juillet 2010, lors du rejet en deuxième lecture des dispositions relatives au mode de scrutin pour l’élection du conseiller territorial.