Ce sous-amendement à l’amendement n° 322, qui a été adopté en commission des lois, vise à préciser que, en cas d’égalité des voix lors de l’élection du président du conseil général, est élu le candidat qui a le plus d’ancienneté au sein de la collectivité territoriale et, s’il y a égalité dans l’ancienneté, le candidat le plus jeune.
Il s’agit de rompre avec la logique qui veut que c’est le doyen qui devient président ou, à l’inverse, le benjamin ; l’expérience au sein de l’assemblée doit primer et, en cas d’égalité d’expérience, le critère de l’âge intervient, mais au bénéfice du plus jeune.