L’avis du Gouvernement est défavorable également.
Madame la présidente, mesdames, messieurs les sénateurs, je demande votre indulgence : l’actualité m’impose de me rendre rapidement au ministère de l’intérieur, où j’ai plusieurs dossiers à traiter.
Demain matin, à dix heures, mon collègue Alain Vidalies prendra ma place au banc du Gouvernement, mais je vous rejoindrai dès la fin du conseil de défense.
J’ai par ailleurs le sentiment que le débat – sans porter de jugement sur le fond – ne suscite pas particulièrement une grande attention. Après cette longue journée, il serait temps, si vous me permettez cette suggestion, d’aller nous coucher !