Enfin, la troisième valeur, c’est la compétitivité des entreprises via la promotion du capital humain, plus important encore que le capital financier. La préservation des compétences clés de nos entreprises, dans tous les secteurs, aussi bien dans l’industrie que dans l’artisanat ou l’agriculture, sera déterminante pour le maintien de notre compétitivité et nos capacités d’innovation de demain.
Pour finir, je remercie une nouvelle fois la présidente de la commission des affaires sociales, Mme David, et la rapporteur, Mme Demontès, pour leur grande implication dans cette discussion qui, bien qu’elle ait été rapide du fait de l’engagement de la procédure accélérée, il est vrai justifié par l’urgence du combat contre le chômage, a pu être complète, précise, détaillée et apporter des améliorations significatives au dispositif.
Je voudrais vous remercier également tous ici, quelle que soit la travée sur laquelle vous siégez, car le travail a été collectif. Il a permis d’enrichir le texte, sans perdre de vue ceux pour qui le contrat de génération a été pensé, les plus jeunes, les plus âgés dans l’emploi, ceux pour qui nous sommes aujourd'hui réunis.