Votre plaidoyer vibrant pour l'Ademe m'a déconcerté. Nous avons entendu deux fois votre prédécesseur : lors de sa nomination, puis à l'occasion d'un débat technique sur les sujets quotidiens dont l'agence a à connaître. Nous savons l'utilité de cette agence ! Vous sembliez à la tribune d'un congrès... Nous ne vous interrogeons pas sur le rôle de l'Ademe, mais sur la façon dont vous comptez mettre en oeuvre ses politiques si votre candidature est retenue pour le poste de président. Une institution, c'est aussi des ressources humaines, des finances, bref des enjeux de gestion qui, dans une conjoncture budgétaire tendue de surcroît, doivent être explicités.
Vous avez évoqué les partenariats. Soit. Mais que préparez-vous à cet égard ? L'Ademe pourrait n'être qu'un accompagnateur, ce serait déjà beaucoup.