Il est un peu tôt pour faire des propositions d'actions détaillées. A ce stade, partageons l'enthousiasme de M. Lechevin pour l'activité que mène l'Ademe.
Le lien entre l'Ademe et les collectivités est inscrit dans l'ADN de l'agence. Comment voyez-vous l'évolution de leurs relations ? Sont-elles satisfaisantes, et si non, comptez-vous fixer un nouveau cap ?
S'agissant des changements de comportement, et des actes de consommation en particulier, l'Ademe est souvent prudente, faute de connaissances sur la manière de modifier les comportements. Nous manquons d'études qualitatives approfondies. Par exemple, le bonus-malus est une invention de l'Etat, non de l'Ademe. En de tels domaines, le volontarisme risque de heurter des intérêts économiques, et désavantager les entreprises françaises dans la compétition internationale... Comment comptez-vous concilier ces objectifs ?