D'après nos informations, les négociations sont en bonne voie.
Je m'interroge sur les perspectives d'avenir. La demande en Europe se porte de plus en plus sur les cocktails comme le mojito, qui nécessitent des rhums à 37 degrés. C'est ce que l'on appelle chez nous du « coco merlo » ! Ça a la couleur du rhum, l'odeur du rhum mais ce n'est pas du rhum ! Aux Antilles, il est à 50 degrés. Même au restaurant du Sénat, ils servaient du « coco merlo » ! Nous avons obtenu que cela soit changé. Donc, le marché européen progresse - plus 3 % l'an dernier - mais la politique commerciale des autres rhums est très agressive. Heureusement, les rhums des Antilles font des efforts sur la distribution.