Je comprends l'attachement des producteurs à la qualité, mais pour croître, il faut aussi s'adapter au marché. Or le marché européen demande des rhums moins forts, à 35 degrés, qui entrent dans la composition de cocktails à la mode comme le Mojito. Un rhum cubain de ce type est commercialisé en France par Pernod-Ricard. Or nous sommes totalement absents de ce segment, dominé par les pays d'Amérique latine. Comment attaquer ce marché ?
J'ai entendu votre demande d'aides au fonctionnement et à la trésorerie.
Madame Neisson, percevez-vous l'aide régionale à la balance, servie aux planteurs par le département et la région ?