Toutefois, en l’espèce, deux motifs me conduisent à soutenir cet amendement.
Premièrement, monsieur le rapporteur, il s’agit bien de garantir l’information au sujet d’un refus de crédit, et non pas la motivation de ce refus.
Deuxièmement, cet amendement pourrait faire l’objet d’une division, pour la raison suivante.
D’une part, l’information relative au crédit lui-même peut être assurée très simplement, par exemple de manière téléphonique. Nous le savons tous, quand un chef d’entreprise attend un crédit, c’est surtout lui qui est pendu à son téléphone pour savoir si la somme qu’il sollicite lui est ou non accordée.