Pour ma part, je ne leur ferai pas cette insulte !
J’ai entendu l’opposition parler d’« enfants adoptables », de « la fiction d’une filiation », de « l’enfant qu’on peut s’offrir » ou du « marché de la procréation. » Toutefois, pensez-vous que l’adoption, telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui à l'échelle internationale, n’est pas, elle aussi, une forme de marché ?