Les éleveurs du centre sud sont en détresse : il faut les dissuader, notamment les jeunes, de retourner leurs prairies, car la France va bientôt manquer de viande. Au-delà du prix plus avantageux des céréales, il s'agit aussi du mieux-vivre : un éleveur travaille 365 jours par an. L'inquiétude tient aussi à la gestion du deuxième pilier par les régions, qui ne sont pas toujours en phase avec la réalité...