Premièrement, les Français doivent dire s'ils acceptent le reniement de la parole donnée.
Deuxièmement, les Français doivent dire si le secteur énergétique français a un caractère stratégique.
Troisièmement, les Français doivent dire s'ils acceptent la mise en péril de GDF, et même d'EDF, entraînée par cette privatisation.
Quatrièmement, les Français doivent dire s'ils acceptent que le prix du gaz dépende des intérêts financiers d'actionnaires privés.