L'amendement n° 48 prévoit une forme de cliquet : lors de la renégociation d'un contrat de complémentaire santé par une entreprise, les garanties et la participation de l'employeur ne pourraient être inférieures à ce que prévoyait le contrat précédent. Cela va à l'encontre de la dynamique des négociations collectives. Il faut faire confiance aux partenaires sociaux. Cet amendement pourrait aussi créer une forme de trappe ; les employeurs pourraient devenir très réticents à négocier toute amélioration de la couverture. On risque un alignement par le bas, sans perspective de progrès. Avis défavorable.