C'est une question de bonne législation qui ne devrait pas donner lieu à des clivages politiques. Il serait déraisonnable de ne pas suivre l'Autorité de la concurrence. On peut admettre qu'en plein débat à l'Assemblée nationale, les conseillers du ministre aient été un peu vexés de découvrir l'avis et aient souhaité maintenir leur rédaction, mais aujourd'hui...