Enfin, la mutualisation au niveau de la branche est la seule, mes chers collègues, à même de financer la portabilité des droits pour les chômeurs et les droits non contributifs que nous organisons, notamment le maintien des garanties en cas de non-paiement des cotisations par l’entreprise.
Mais, comme le disait justement notre collègue Jean-Marie Vanlerenberghe, « l’arbre ne doit pas cacher la forêt ».