Nous avons déjà examiné la semaine dernière des amendements tendant à assouplir les conséquences de la séparation entre gestionnaire de réseau de transport d'énergie et société mère productrice d'énergie. Ceux que nous abordons maintenant risqueraient de mettre la France en porte-à-faux vis-à-vis de Bruxelles. La Commission a difficilement admis le principe du maintien du gestionnaire de réseau de transport au sein d'une entreprise intégrée de production d'énergie. C'est pourquoi je propose de demander l'avis du Gouvernement.