Jusqu’au prochain texte, en effet, puisque ce débat ne sera jamais achevé.
Il y a une grande différence entre le choix que nous avons fait, à savoir la publication des patrimoines, étant entendu qu’il s’agit des patrimoines des parlementaires et non de ceux de leurs proches – nous avons veillé au respect de la vie privée –, et ce qui était proposé par d’autres et que j’appelle la transparence punitive. Il n’y a transparence que s’il y a faute, il n’y a transparence que s’il y a observation.
Nous pensons, pour notre part, qu’il faut choisir la transparence dans toute sa clarté et sa simplicité.