L'amendement n° 2 habilite le Gouvernement à prévoir les conséquences juridiques de l'avis défavorable ou assorti de réserves d'un commissaire enquêteur ou d'une commission d'enquête. Actuellement, la seule conséquence est qu'en référé, le justiciable n'a pas à démontrer l'urgence de la réception de la requête. Il s'agit d'un amendement d'appel pour que le Gouvernement revienne sur la loi adoptée il y a quinze ans sur le sujet. Si on prenait un peu plus en compte l'avis des citoyens, on aurait moins de contentieux.