A la suite de Fukushima, nous avions, dans le cadre de l'Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (OPECST), dont je suis vice-président, conduit une série d'auditions sur la sécurité et sur la sûreté. Nous avions entendu chacune des parties, et j'avais été impressionné par la rigueur des scientifiques et par le choc presque frontal avec les exploitants auquel nous avions assisté. Les premiers ne faisaient vraiment pas de cadeau aux seconds en matière de sécurité. Les échanges avaient été très vifs, et il s'était dit beaucoup de choses.
On peut retrouver les comptes rendus de ces auditions...