Cette audition soulève beaucoup de questions. Je pense, Madame, que nous serons amenés à vous demander de visiter votre institution, pour voir en particulier comment se déroule une expertise.
Nous avons trouvé un consensus sur le niveau d'information publique pour toute décision qui peut avoir un effet sur l'environnement grâce au texte de loi que nous avons élaboré il y quelques mois. Pour la sûreté nucléaire, la question est fondée, mais la réponse est quelque peu compliquée, on peut le comprendre. Cela méritera que l'on puisse échanger à nouveau.
Je suis partisan que la représentation nationale puisse obtenir des informations, jusqu'à une certaine limite, qui ne mette pas les infrastructures en péril. Certaines choses n'ont pas à être mises sur la place publique. Il faut faire confiance à chaque niveau d'organisation de l'Etat : parlementaires, scientifiques, organismes...