Il est vrai que la question est importante, dans la mesure où on se préoccupe de transparence : jusqu'où doit-elle et peut-elle aller ? Il s'agit d'une question très pertinente.
Certaines dispositions de sécurité sont protégées par des textes. On ne peut s'en affranchir facilement, mais ces textes peuvent être connus, et l'on peut savoir où est la limite.
Par ailleurs, il y a toujours une discussion entre l'IRSN et les autorités de sûreté, civiles ou militaires, qui ont commandité des expertises. Le débat peut ensuite avoir lieu sur le degré d'ouverture et de publicité que l'on peut souhaiter. C'est une discussion qui se poursuit en permanence, et qu'il faut continuer à mener dans la sérénité.
On ne peut tout dire en matière de défense ; ce serait contre-productif, mais il faut en dire le plus possible pour que vous preniez des décisions éclairées.