Entre les articles qui paraissent et les divers scandales comme celui de Wikileaks, il est tout à l’honneur de notre Haute Assemblée d’avoir soulevé la question des libertés et de la légitimité du contrôle dans le monde complètement dérégulé qui est celui d’internet.
D’un côté, notre débat peut paraître périmé ou préhistorique. De l’autre, il semble véritablement indispensable dans le cadre de la négociation des directives sur la protection des données que nous avons évoquées la semaine dernière et aujourd’hui même. La position de la France est plus qu’honorable, et celle de nos commissions des lois et des affaires étrangères tout à fait remarquable.