Monsieur Teston, notre modèle de financement prévoit des ressources fiscales, une part très importante d'emprunt et une dotation d'un milliard d'euros si nécessaire après 2015, abondée si nécessaire encore après 2020. C'est un modèle qui fonctionne, et j'insiste sur l'importance de la notion de « si nécessaire ».