Chacun a ses contradictions, monsieur le ministre. On ne peut pas affirmer qu’il y a une corrélation entre l’investissement et le montant de la TVA et dire qu’il faut prendre 2008 parce que c’est plutôt une bonne affaire.
Mais je poursuivrai mon propos cet après-midi, lorsque nous reprendrons cette discussion, car je ne veux pas vous contrarier plus longtemps, monsieur le président.