a rappelé les trois maux dont souffre le système de formation professionnelle : complexité, corporatisme et cloisonnement. Souhaitant connaître l'avis des partenaires sociaux sur les moyens de faire davantage bénéficier les salariés des très petites entreprises de la formation professionnelle, il leur a ensuite demandé quelles sont leurs propositions pour faire face au problème du remplacement des salariés partis en formation, question que ne traite pas le projet de loi. A propos des dispositions du projet de loi concernant l'élargissement des missions des Opca à l'accompagnement et au conseil des entreprises, il s'est enquis de la position des intervenants sur la fixation du seuil minimal de collecte et sur la liberté du choix de l'Opca.