Le dialogue social, c’est non seulement une volonté, celle du Président de la République, du Premier ministre et de son gouvernement, mais c’est aussi une méthode, une marque de ce beau ministère du travail, de l’emploi et du dialogue social et, ajouterai-je, de la formation professionnelle. Ce n’est pas M. le sénateur Larcher qui me contredira.
Le dialogue social, vous l’avez fort bien dit, monsieur le sénateur, c’est la réhabilitation du beau mot de compromis. C’est l’abandon de la culture du conflit systématique pour la recherche de ce compromis social si nécessaire.
Le compromis, ce n’est pas le renoncement. Le compromis, ce n’est pas la compromission.