J’ai bien noté l’observation de M. le président de la commission des affaires économiques à propos de nos amendements. Je signale seulement qu’il n’est pas le seul à relever les incohérences quand il y en a. Le travail parlementaire fait que l’on dépose souvent des kyrielles d’amendements, dont certains sont de repli : si le premier n’est pas adopté, un autre le sera peut-être… C’est bien légitime, et c’est conforme à notre droit d’amender.
Cela dit, puisque je suis attentivement ces débats, il ne m’a pas échappé que l’amendement n° 402 rectifié présentait quelques difficultés. C’est pourquoi je le retire, monsieur le président.