Toutefois, puis-je, en trois jours, décider de fusionner l’Alsace et la Lorraine ? Puis-je, en quelques heures, consentir à quelque marchandage, sous prétexte que certains notables sont convenus de se rapprocher par intérêt ?
Je suis capable de parler de mon territoire, mais, pour le reste de la France, je veux que l’État et le Parlement discutent ensemble, qu’ils mènent ensemble une réflexion économique, sociale, géographique, culturelle, historique, et qu’ensemble ils élaborent une carte.