Madame la ministre, je vous remercie de vos explications. Mais j’en déduis, concernant l’emploi, car c’est de cela qu’il s’agit, qu’il est plus facile de gérer le chômage que de maintenir ou de créer des emplois.
Nous avons, en raison de ces dispositions, perdu, sur le littoral, plus de 200 emplois – beaucoup plus, en réalité ! –, et c’est bien regrettable.
Lorsqu’une entreprise ferme et licencie 20 ou 30 personnes, on s’émeut et on en parle partout. Là, nous perdons 200 emplois, et tout le monde s’en satisfait. Je le regrette et je souhaite qu’un jour les choses puissent changer dans l’intérêt de ceux qui essaient encore, dans notre pays, de travailler. Car il semble que la chose la plus difficile qui soit dans notre pays, c’est de pouvoir encore travailler. Dès lors que vous ne travaillez pas, vous êtes tranquille !