Intervention de Roselyne Bachelot-Narquin

Réunion du 26 novembre 2010 à 22h15
Loi de finances pour 2011 — Article 87 ter nouveau

Roselyne Bachelot-Narquin, ministre :

À la fin de l’examen des crédits de cette mission, Marie-Anne Montchamp et moi-même tenons à vous remercier, monsieur le président, pour votre diligence. Nous remercions également les rapporteurs ainsi que les sénateurs et sénatrices qui nous ont accompagnés à cette heure avancée, sans oublier les personnels des commissions et du service de la séance.

Je veux dire notre affection et notre admiration pour Paul Blanc.

Pour ma part, je connais Paul depuis longtemps, je n’ose dire le nombre d’années. Nous nous sommes rencontrés aussi bien ici, au Sénat, que dans son département, où je me suis rendue à plusieurs reprises sur son initiative pour évoquer ensemble la situation de personnes fragiles, de personnes en difficulté, et tout spécialement de personnes en situation de handicap.

Paul Blanc est un homme de cœur, il est aussi un homme d’action et de réflexion. Les travaux qu’il a commis constituent un outil important pour aborder les dossiers concernant le handicap et ceux que nous allons examiner lors du grand débat sur la dépendance voulu par le Président de la République.

Cher Paul, c’était peut-être votre dernière intervention en tant que rapporteur, mais je suis certaine que vous participerez à ce débat avec la lucidité et l’humanité qui vous caractérisent. Nous vous attendons sur ces sujets, où vous êtes irremplaçable !

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