L'amendement n° 228 rectifié ter interdit l'utilisation du chèque énergie pour régler des dépenses d'amélioration énergétique du logement. Or il est vraisemblable que les ménages précaires, soumis à une contrainte de liquidité forte, l'utiliseront majoritairement pour régler leur facture d'énergie plutôt que pour régler des dépenses d'amélioration énergétique de leur logement. Le chèque énergie donne le choix aux ménages concernés ; je ne vois pas de raisons de limiter ce choix. Symboliquement, il est important d'affirmer le lien entre la lutte contre la précarité énergétique et la prévention de cette précarité. Enfin, je ne vois pas où est la simplification.