Le risque lié à l'automaticité est réel. En revanche, est-il opportun de revenir sur la durée, dont nous avions longuement débattu ? Je n'en suis pas sûr : la réinsertion est un long processus, qui ne s'opère pas en six mois. Maintenons une durée d'un an, mais sans lier les mains du préfet.