Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, notre débat est organisé en urgence.
Oui, il y a urgence ! Il y avait urgence hier, il y a urgence aujourd’hui, il y aura urgence demain. La compétition mondiale ne nous attend pas.
Les retards pris doivent être rattrapés, les problèmes du jour doivent être traités et il faut anticiper sur ceux de demain.
Pour autant, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. Et puisqu’il y a retard sur ce débat, il fallait d’urgence l’ouvrir, et il faut le traiter complètement.
Heureusement, bâcler, ce n’est pas le genre de notre rapporteur, Jean-Pierre Fourcade.