Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je commencerai par répondre à Patrick Abate.
Ah ! La montée des extrémismes...Vous ne risquez pas, quant à vous, de connaître une montée électorale, au vu des « claques » que vous recevez en ce moment. Je m’en félicite, d’ailleurs : c’est heureux pour notre pays !