L'amendement n° 2 supprime le coeur du dispositif voulu par les auteurs de la proposition de loi organique, nos collègues du RDSE, qui réduisent la portée des études d'impact instaurées en 2009. Nous estimons pour notre part qu'elles sont un progrès car elles fournissent des données importantes, un éclairage, des arguments même, aux parlementaires.
Pour eux, le Conseil constitutionnel, dans sa décision de juillet 2014, aurait dû donner satisfaction aux auteurs de la saisine, parce que l'étude d'impact n'était pas complète. Il ne l'a pas fait, ce n'est pas une raison pour réduire d'autant la portée de ces documents !