J'ai grandement apprécié votre intervention, monsieur le ministre, dont je partage beaucoup d'éléments, en particulier sur la nécessité du dialogue et sur l'obligation, pour le pays des droits de l'homme qu'est la France, d'accueillir ces personnes qui fuient des drames inacceptables.
Dans ce contexte, pour assurer la protection des populations, pourrait-on envisager que le dialogue mené dans le cadre du Conseil de sécurité débouche sur la constitution de forces d'interposition permettant d'éviter, au sol, ces drames humains et d'arrêter cette hémorragie dont nous subissons les conséquences ?