C’est l’une des recommandations que nous vous faisons, car nous constatons aujourd’hui une situation de grande fragilité.
Monsieur le ministre, le prix n’induit pas forcément le revenu. Prenons l’exemple de l’Allemagne, où 2 % du chiffre d’affaires sont liés au différentiel de TVA. J’aurai d’autres exemples, et les réponses ne peuvent se limiter à la mise en œuvre des circuits courts. Certes, il faut développer ces derniers, mais il faut également travailler sur le dossier de la restauration collective, car les questions de fond se posent aussi au niveau structurel.
Quand seulement 57 % des agriculteurs ont confiance dans notre agriculture, c’est inquiétant.