Je voterai cet amendement, parce que, là, nous sommes vraiment dans le dur.
Nouveau sénateur, je n’oublie pas que nous avons débattu de la répartition des compétences entre le département, la région et État dès mon arrivée dans l’hémicycle. Or c’est bien la première fois que nous abordons le volet financier.
L’amendement de notre collègue ne vise pas à interrompre l’accompagnement des jeunes. Il soulève une question de fond : qui assume le financement des compétences attribuées aux départements, aux régions et à l’État ? Le sujet n’avait pas pu être abordé lors du débat sur les transferts de compétences ; nous aurions souhaité qu’il le soit.