Cet amendement met le doigt sur la faiblesse de la proposition de loi qui ne traite pas de la question pourtant centrale de la concentration. Certes, il existe d'autres dangers, mais qui peut le plus peut le moins ! L'argument de la rétroactivité ne tient pas. Quand on déréglemente le marché de l'énergie, on ne laisse pas le monopole à EDF sous prétexte qu'il l'avait avant. Pourquoi l'audiovisuel et la presse seraient-ils traités différemment ? Les nouveaux seuils anti-concentration s'appliqueront à tous.