Nous voterons bien évidemment à l’unanimité la ratification de l’accord de Paris, en soulignant toutefois qu’il est a minima pour relever le défi humanitaire qui est le nôtre.
Nous souhaitons pourtant qu’un fossé ne se creuse pas entre les intentions et leur mise en œuvre.
Trop de pays ne l’ont toujours pas ratifié.
La mobilisation des financements est fondamentale. Or, nous sommes encore loin des 100 milliards d'euros promis.
L’essentiel sera à mon avis le suivi auquel chaque Parlement procédera pour veiller à l’application de l’accord et pour suivre de très près les politiques environnementales nationales.