Autant dire que cette taxe sera indolore.
Le lobby bancaire, très présent à Bercy, a donc bien œuvré. Les banques françaises ont obtenu gain de cause et, au final, cette taxe n’a pas de sens par rapport à l’objectif initial de prévention des risques systémiques.
À tout le moins, nous demandons qu’elle ne soit pas déductible de l'impôt sur les sociétés.