Elles l’ont été dans une large mesure ! Par conséquent, ne dites pas que je suis l’avocate d’un secteur d’activité, car ce n’est pas vrai. Nous prenons en considération l’intérêt global de l’économie française, et non pas celui d’une seule branche d’activité.
Pour autant, chaque fois que les mesures proposées dans le cadre du Comité de Bâle ou du Conseil de stabilité financière sont de nature à désavantager le secteur bancaire français par rapport à ses concurrents dans le monde, je considère qu’il est aussi du devoir du Gouvernement d’assurer le maintien d’un level playing field, afin que l’ensemble des opérateurs soient placés dans les mêmes conditions économiques et que certains pays ne se trouvent pas outrageusement avantagés.