Nous suivrons l'avis du rapporteur. Nous nous réjouissons d'avoir été entendus, et que des représentants de l'industrie soient nommés par l'APE. C'est essentiel, et il faut continuer. Je déplore, comme le rapporteur, la confusion entre la stratégie de l'État et la gestion active du fonds. Les règles doivent être plus précises. Je regrette notamment que les dividendes ne soient pas gérés par l'APE. Nous avons perdu 20 milliards d'euros. Certes, on ne peut pas comparer cette performance avec celles des gestionnaires de fonds privés. Mais nous pouvons faire mieux.