L’article 40 prévoit l’expérimentation d’une prise en charge des consultations pour les jeunes de six à vingt et un ans en situation de souffrance psychique. Le recours aux soins de santé mentale est toujours d’une extrême difficulté. Il convient d’ajouter le psychiatre à la liste des professionnels pouvant être appelés à intervenir auprès de ces jeunes.
Je souhaite évoquer, à cet égard, le dispositif mis en place par l’AP-HP et les hôpitaux universitaires Paris Nord Val-de-Seine : il s’agit, grâce à une équipe mobile, d’aller à la rencontre des jeunes adolescents présentant des troubles psychiatriques sur les lieux qu’ils fréquentent. Ce dispositif se révèle très intéressant en termes de qualité de suivi.