Je partage les observations de Mme Blandin quant à la méthode législative : nous en arrivons à des situations absurdes, dont l'article 23 C est un bon exemple.
Il ne faut pas non plus caricaturer ce texte. S'il est vrai que les articles qui concernent notre commission sont de niveau réglementaire et n'apportent rien, d'autres constituent de vrais enjeux, en particulier ceux relatifs aux unités touristiques nouvelles et aux offices du tourisme, ces derniers relevant de la compétence de la commission des affaires économiques.
Pour ne rien vous cacher, j'ai envisagé de présenter un amendement afin de permettre d'adapter le calendrier scolaire aux réalités locales. Mais le code de l'éducation le permet déjà. Comme l'ont souligné nos collègues Françoise Cartron et Loïc Hervé, cela marche très bien, dès lors que cela fait l'objet d'une démarche partenariale et de contractualisation. Voilà la voie qu'il convient de suivre : plutôt les conventions que les incantations !